Le brouhaha de l’imbécile, bien qu’objet de mépris pour le détenteur d’un cerveau affiné,
est-il qualitativement inférieur au discours intérieur de l’homme éduqué,
assis dos droit, jambes croisées ?
Il est fort probable qu’au final tous les brouhahas se valent.
C ‘est ce qu’enseignent les pages du silence.
Ceci parce que dans la cervelle du badaud consommateur, l’emprise du bruit normal n’est pas inférieure à celle de l’homme de société.
Seul le conteur varie, l’oppression du contant est identique.
Franck
©FJ Jan 2021
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