En un soupir, Thelma s’assit, pris le stylo et laissa couler :
“J’ai peur de la vie,
C’est pour ça que je dis non,
Et c’est pour ça que je crie
Quand tu demandes mon attention.
J’ai peur de toi
Qui déborde de vie
Par les yeux, par la bouche.
J’ai peur de ta joie
Myope et folle,
De tes bras qui enserrent
De tes mains qui me touchent.
Et la foi rayonne si loin.
Toutes mes colonnes tremblent de froid
Faire un pas, je ne saurais,
Tout s’écroule ici déjà.
Continue de m’approcher, de réchauffer mon âme
Un jour, tu sais… »
©FJ Feb 2020
: RECUEILS //Participations
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