Partie 1 : Désabusé (1/2)
L’autorité est toujours du ressort de l’abusé, celui qui demeure abusé aux yeux de celui qui croit à la co-organisation des bonnes intelligences – l’anarchie intérieure.
L’abusé donne dans le management, d’un côté ou de l’autre la consigne, peu de différence au final. C’est le même jeu qui se joue.
Il faut que l’un veuille être l’autre pour que fonctionne le système de l’abus.
Dès que le donneur d’ordre cesse d’occuper une position à laquelle aspire celui qui le reçoit, le motif de subordination tombe et la structure hiérarchique s’effondre.
Je plaide ainsi pour l’éveil des soumis. Qu’ils pénètrent collectivement les terres du dés-abus.
Qu’ils investissent leur énergie vitale à l’intérieur.
Qu’ils cessent d’en projeter la partie la plus visqueuse sur l’autre coté du bureau.
Savamment désabusés
Êtres de liberté
Sourire aux lèvres
Regarder l’autre se démener pour apparaître motivé.
©FJ Apr2021 – Groupe De Pratique
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Notes & Silence 
Complètement vrai ce que tu dis là ! Cela me fait penser à un poste que j’ai occupé ou tous les employés se courbaient devant la demande la plus absurde de l’employeur mais où les employés se seraient révélé à leur tour de vrai tirant s’ils avaient eu plus de pouvoir ! Incroyable vérité
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Bonjour Madame G.
Merci pour ta lecture et ce retour enthousiaste.
Aussi, en situation de pouvoir, ne nous sommes nous pas montré ainsi ?
Pour ma part, certainement, au moins suffisamment pour m’en apercevoir.
J’imagine que l’on voit bien chez les autres ce que l’on porte en soi.
enfin, c’est ce qu’on dit.
Bonne journée !
f
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Et bien cela est sûrement vrai ! Comme on doit aussi souvent se retrouver dans les commentaires que l’on lit en plus de ceux que l’on écrit ! Bonne continuation
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