Quand je dis : zazen, l’assise… c’est le chemin qui mène à la cabane de Dieu,
Cela signifie que la pratique simple, celle du cœur du Zen, dans son ensemble mène à l’abandon au divin,
: Le pratiquant authentique et dévoué finit par s’abandonner à plus grand, à la parole divine.
Egalement, ce qui est constaté à l’échelle d’une vie de pratique se retrouve – merveilleusement – à chaque assise.
Chaque assise est un chemin que l’on emprunte pour retrouver le Père.
