La fatigue est un boulet que l’on traîne au cou, qui rend le difficile pénible et ternit l’agréable. Pourtant il existe un point de conscience,

La fatigue est un boulet que l’on traîne au cou, qui rend le difficile pénible et ternit l’agréable. Pourtant il existe un point de conscience,
Suffisamment trempés dans le bain de Zazen,Même les gros morceaux, bien que peu digestes,Finissent par se désintégrer.A leur tour, ils rejoignent le flot des nutriments,Font
Comme un vieil acteur sur le retour sonne faux de tout son êtreLorsqu’il tente de reprendre ses poses de jeunesse et ses réflexes de plateaux,On
La bodhicitta est la force qui nous est donnée,celle grâce à laquelle on se cramponne au mât central du navire lorsque les vents de la
“Maître, je suis désemparé, les assauts de mes pensées redoublent de vigueur ces derniers temps. Mème si je m’assois en zazen, elles m’aspirent totalement par