L’écriture est une photographie. Avec quelques traits de lumière, j’imprime le papier. Le reste du temps, je vis dans un épais nuage d’obscurité. La lumière
L’écriture est une photographie. Avec quelques traits de lumière, j’imprime le papier. Le reste du temps, je vis dans un épais nuage d’obscurité. La lumière
My 8-year-old boy quickens his pace to match mine.That afternoon, in fact, my feet are getting active, urging for a walk.My mind is not there
Writing is a photograph. With a few lines of light, I engrave the paper.Apart from those moments, I live in a thick cloud of darkness.
Que sont les sons si je ne les rencontre pas ?Que sont les sons s’ils ne rencontrent rien ?S’ils naissent comme ils meurent,Ils ne naissent
What are sounds if I don’t hear them?What are waves if they never meet the shore ? If they get born as they die,They neither
Le cyprès dans la cour du temple (1)Et la terre à témoinMême ancrageMême conscience simpleMême empreinte du réelMême résolution pour être incarnéChoix évident du bonheur
Le koan de ma vie, jusqu’alors, est celui-ci, il me faut le résoudre…“Comment être un moine itinérant sans être un moine itinérant” Au regard de
The koan of my life, up to now, is as follows :‘How to be a wandering monk without being a wandering monk ?’ How can
The oak tree in the temple yard, (1)Calling the Earth to witnessSame anchoringSame simple mindSame footprint in realitySame resolution to lifeObvious choice of happiness within
‘What was your true face before the birth of your parents ?’ Without diving in the fathomless depths of this — literally — mind-blowing koan,
Zazen est le vent de l’ouest venu chasser les feuilles qu’apporte le vent du nord. Celles-ci s’amoncellent en tas pourrissant devant notre porte d’entrée. Sans
Maître Dogen, sur un arbre perché… Ok. Ca va. On peut rigoler… C’est mon blog et je fais ce que je veux. Jon Kabat Zinn,
Porté par la convivialité du moment, le jeune homme s’approcha du Maître. Le sourire lointain de celui-ci guida le disciple au travers des échanges mondains,