Saurait-on aimer la vie comme on cherche le soleil d’une fin d’après-midi d’octobre ?
Juin de ton existence
avec intermittence
ses rayons balaient sur ta peau
et dessinent d’avance
l’inéluctable nuit
dont le bras t’enfouit.
Laisse ton fort intérieur
s’enluminer des douceurs flamboyantes,
les yeux mi-clos, un pied, puis l’autre
Des éclats de lumière
crépitent en peau de mer
Rejoins l’astre solaire
Ils avancent avec toi.
Franck Joseph
©FJ Jan 2019
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