Sur les chemins de l’oubli, j’en étais arrivé au point
où il m’étais devenu impossible d’entrer en contact avec le début de toute voie de pratique authentique.
Sur les chemins de l’oubli, j’en étais arrivé au point
où je ne franchissais plus la barrière des concepts et des mots et restais prisonnier de leur stérilité.
J’étais assis sans être assis.
J’étais en posture mais ne l’incarnais pas.
Zazen n’était pas desséché, mon assise était restée prisonnière des mots.
Même cela, l’étape initiale, le premier pied sur la Voie,
Je l’avais oublié.
– ©FJ Dec 2021
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