Ce sont les ‘Entretiens de Houang Po‘ qui me font le plus rire, surtout lorsque personne n’en saisit l’humour.
J’éprouve un plaisir d’enfant lorsque, lorsqu’au cours de nos sessions d’échange, la lecture de Houang Po vient titiller les conforts des représentations, retourner les tables de jeux.
Comme ce rire qui te plie en deux, celui dont je te parle est, je crois, un marqueur du même acabit.
Ce thermomètre, je l’ai toujours, planté au cœur.
Ce Houang Po est vraiment mon ami. C’est étrange, n’est-ce pas ?
Personne n’ose parler comme lui.
Je suis sûr qu’il ferait une bonne recrue anachronique pour notre etrange groupe.
Anachronique ? Non : la prétendue linéarite du temps n’est pas apte à configurer le possible des rencontres.
(notes d’après entretien)
