La pensée est un moustique surexcité, vorace, assoiffé de sang neuf,insatiable, virevoltant au moindre commencement du plus petit des bruits et qui, en volant tout
La pensée est un moustique surexcité, vorace, assoiffé de sang neuf,insatiable, virevoltant au moindre commencement du plus petit des bruits et qui, en volant tout
Et toujours ce couteau, Serpent mortifère Qui joue de sa lame Dans les plaies de mes désirs frustrés Mais qui tient ce couteau? Et qui
-« Et à quoi pourrait bien ressembler une pensée sans langage? » Nier son existence équivaudrait d’emblée à appeler le jeune enfant, l’homme primitif et l’animal stupides,
La pensée est par nature inapte à saisir quoi que ce soit dans son intégralité. Elle ne peut donc avoir aucune prétention à l’intégrité pour
Sans prévenir, je ressentis une douleur angoissée au niveau de la poitrine, une épine qui me déchira pendant un millième de seconde. Exactement la même