Harmoniques discrètes, derrière chaque vocable, Sonnez subtilement mes tympans dilatés, Tambourinez gaiement vos fragiles poignets Sur le bois éternel de ma porte d’érable, Et contez-moi
Harmoniques discrètes, derrière chaque vocable, Sonnez subtilement mes tympans dilatés, Tambourinez gaiement vos fragiles poignets Sur le bois éternel de ma porte d’érable, Et contez-moi
Quand le temps est étrange et le nuage lourd, Et que le vent absent dans le silence gronde, Les gens marchent, ignorant la fureur des
Et toujours ce couteau, Serpent mortifère Qui joue de sa lame Dans les plaies de mes désirs frustrés Mais qui tient ce couteau? Et qui
Et alourdir encore la benne De mes ardeurs défraîchies De mes poussiéreuses étrennes Reçues par toi ce jour de pluie ? ————————————————- Naître sans air un