Ce qui m’apparaît, littéralement, merveilleux, c’est que le vieillissement ne semble pas impacter la joie d’être, contre toute attente.
C’est très émouvant.
Elle apparaît de plus en plus nette, non obstruée par les attentes et des désirs où l’énergie brute de jeunesse s’engouffrait et créait les remous dissimulant ainsi le fond.
Je me sens triste pour la personne que j’ai été, dont le principal facteur de floutage était précisément la crainte que le vieillissement ampute.
Franck Joseph
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Soutien et Participation

Bonsoir Franck, Peu de temps pour les réseaux sociaux actuellement. J’espère que vous allez au mieux. Un de vos textes pris au hasard. La dernière phrase m’interpelle dans sa forme et laisse une latitude d’interprétation quant à son fond. Latitude qui n’est peut-être que de mon fait… – « que le vieillissement ampute »: la joie d’être?ou- « que le vieillissement impute »: la crainte que le vieillissement imputerait? à quoi? Des voeux de pratique fructueuse, formelle ou non… Phil / Samten / Citta
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Bonjour Philippe…
Content de vous retrouver ici.
Merci pour ce message.
Ici : la crainte du vieillissement (chez le ‘non encore vieux) disparaît par le fait même du vieillissement.
La projection de ce que sera le vieillissement est erronée.
Bon…un texte écrit il y a quelques temps.
Merci pour votre lecture.
Je vous redonne mon mail ndraw@tutanota.com
J’espère que ce contexte ne vous impacte pas trop violemment.
Je serais ravi de m’en entretenir avec vous.
A très bientôt
F
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