Comme une fleur pourritComme une fleur pourrieJe vais mourir et je suis mort. Comme l’obscurité nuitComme l’obscurité-nuitMa vie se meurtLa mort me vit Comme l’obscurité
Comme une fleur pourritComme une fleur pourrieJe vais mourir et je suis mort. Comme l’obscurité nuitComme l’obscurité-nuitMa vie se meurtLa mort me vit Comme l’obscurité
Une d’entre elles attrapée,Entre mes deux doigts regardéePour ce qu’elle est. Les voici toutes de nuits qui défilentPourtant toutes à mes yeux de valeurs identiques.Vedanas,
Cet article fait suite à Sortir du Burn-Out Epanouissement Il doit être possible de maintenir l’assise dans la largeur du spectre naturel, la solidité de
Y aurait il quelqu’un pour me dire ou me montrer dans quel repli, sur la grande nappe de conscience je me suis encore laissé enfermé
Je pensais que la nuit était noirePuis elle me donne à voirToutes les façons qu’elle aDe laisser passer la lumièreAu travers de ses filtres sombres
Il y avait ce contraste vivifiant, qu’il ressentait dès que le contexte de sa vie autorisait un éloignement géographique…Et l’étouffement au retour dans ces murs
One of them, caughtBetween my fingers, staredFor what it is. They’re all out at nightPassing through my inner skyAll different in speed, shape and brightnessBut
Ce matin, le soleil a l’œil qui colle.Pourquoi tant de nuages ? Il reste allongé dans le lit de la nuitEt me cache sa pupille
Je ne peux pas affirmer que la vie que je vis, celle que j’ai vécue jusqu’ici se soit réellement produite. Il n’est pas impossible qu’elle
Zazen : se retrouver au pied du mur et trouver l’espace pour survivre. La plongée en apnée dans l’espace de l’existence laisse peu de chances
Beyond steep rocks erecting and stone blocks combiningIn a densified mountain range,I sit Through the deafness of dark nightsWhere questions are held captive,I sit Along
Renaissance après nuit Réveil en absence de repères spatiaux Palper les murs, lieux inconnus Terre nouvelle En nuit Cohabitation des mondes Interpénétration visible Ils ne
Le monde moderne apporte le diktat de l’optimisation. Nous comprenons. Mais qu’en est-il lorsque ce culte de la fluidité des processus pénètre jusqu’à l’os le
Puisque le monde extérieur jamais ne te laisse, La paix de l’esprit, où la trouver ? L’attente du moment où, enfin les circonstances extérieures sauront
La foi dans le bodhisattva que l’on est est nécessaire. Elle est pourtant si fragile. La perception que l’autre a de nous, nous revient comme