Il y a, dans la tournure de « peut-être » un éclat du miroir de l’essence démocratique qui reste planté en mon cerveau telle une épine en

Il y a, dans la tournure de « peut-être » un éclat du miroir de l’essence démocratique qui reste planté en mon cerveau telle une épine en
La terre ne dort pas en hiver, elle pense. Par les réseaux neuronaux de ses arbres nus, Les branches en éventail. Elle pense sous nos
Nu, je me sens bien, Obligé d’accepter ce que je ne vois pas Sans chemin parcouru, sans effort sur le gras Sans conquête à venir,
Il est dans le langage comme des trappes dissimulées qui, lorsque notre langue s’y appuie, ou que notre pensée les tâtonne, s’ouvrent sur des abysses
Les pensées peuvent avoir un goût amer qui, si on les avale, S’infiltre gentiment entre deux sains organes Et distillent, et distillent leur âcre parfum
Un yin et yang à moi tout seul…des heures, tant d’heures gâchées à chercher le coté d’appartenance qui renierait l’autre, le fuirait. Sans pouvoir y