La mise en avant de l’expression ‘malade asymptomatique’ pourrait très bien être le corollaire sanitaire de la fin de présomption d’innocence, au sens juridique strict

La mise en avant de l’expression ‘malade asymptomatique’ pourrait très bien être le corollaire sanitaire de la fin de présomption d’innocence, au sens juridique strict
Les réseaux sociaux ne sont pas l’espace de liberté qu’ils prétendent (de moins en moins) être.Ce sont des hublots permettant d’observer les dissidents in situ.
Le passage qui suit est extrait de Pour Une Métamorphose de L’Esprit, par Thich Nhat Hanh, éditions Pocket, Page 60, 61. « Notre société, notre pays,
Ce qu’ils perçoivent aujourd’hui comme une contraction anodine, nécessitant certes un peu de repos mais ne justifiant pas de se précipiter à la maternité, est
Par l’usage des réseaux sociaux, la nuance disparaît puisque nous sommes dans l’obligation de parler à tout le monde.
Nous vivons dans un monde de hiérarchies. Scolaires, universitaires, professionnelles, sociétales, religieuses. Tout est hiérarchie. Tout est rapport de force et préservation des intérêts. La
Bon. En voilà un titre violent: « la gangrène et les morts ». Faut-il que je le police ? Et comment ferais-je alors pour accrocher le regard
-« Dispersez-vous ! Y’a rien à voir. » Ne bougez plus. Ce que vous entendez, c’est la voix de l’autorité policière, celle qui lutte contre l’instinct des
Note préliminaire (désamorçage de polémiques, de « oui mais… » et de « attends un peu… »): Ce n’est pas le tatouage que nous incriminons ici pour ce qu’il
Il y a, dans la tournure de « peut-être » un éclat du miroir de l’essence démocratique qui reste planté en mon cerveau telle une épine en