A force de voir dans chaque élément qui se présente à toi Un obstacle sur la route de ta vie désirée, Ces éléments cessent de
A force de voir dans chaque élément qui se présente à toi Un obstacle sur la route de ta vie désirée, Ces éléments cessent de
Tu peux étendre tes draps entachés Dans le fond de mon âme L’eau qui ruissèle saura les laver. Dans le fond de mon âme, Tu
Ne pas interagir avec ce qui se passe, Comme on observe, discret, les animaux de la forêt. Et lorsqu’il chante depuis la branche de l’arbre
Certaines personnes pensent que la méditation n’est pas pour eux, car, disent-elles, leur esprit s’emballe une fois assis sur le coussin et cela les angoisse.
La question n’est pas : « faut-il que je devienne végétarien? » (« A moins qu’il vaille mieux que je ne sois vegan ? ») C’est une question qui
Ici, une note rapide, destination de plusieurs liens de ce blog. Cette entrée s’étoffera progressivement vers un article plus dense. Souvent, dans la littérature parlant
Un bout de ficelle dépasse du plancher. Assis, je n’ai rien à faire…autant tirer dessus et voir si quelque chose est noué à l’autre bout.
De ce montage, cet arrangement habituel que nous appelons ‘ego’, la forme la plus prégnante, la plus visible, surtout lors des pratiques assises, est le
Note préliminaire (désamorçage de polémiques, de « oui mais… » et de « attends un peu… »): Ce n’est pas le tatouage que nous incriminons ici pour ce qu’il
Le mental ne peut mener hors du mental. Ce n’est que de manière heureuse, fortuite ou inspirée qu’il nous est parfois donné d’atterrir en dehors
Etre rempli de pluie Traversé par les milliers de gouttes Ruisselantes et crépitantes Sur les tôles ondulées de nos crânes Être vide de mots, Poème
J’appelle ici ‘problème’ toute préoccupation mentale. Le problème malotru s’invite la nuit. Entre deux innocentes tranches de sommeil fait irruption une phase d’éveil. La pesanteur
Machine à Fumée Le mental est une machine à fumée. Sans arrêt, il cherche à combler l’espace entre ce qui est, et ce que je
Voilà mon tour de garde, on me passe l’habit. Seul au sommet du mât, matelot en vigie, Moi qui aime tant le chaloupé langoureux de
Celui qui reçoit insultes, humiliations, dénigrements, qui est-il? Avec la réalisation que celui-ci n’a jamais existé, disparaît la souffrance. Quelle joie d’avoir tout ce matériel