Le maître est mort,Depuis, quelques à-coups dans la couvertureD’un grand lit déjà froid,Et puis plus rien. Plus rien que je n’entende. Depuis ma maison de
Le maître est mort,Depuis, quelques à-coups dans la couvertureD’un grand lit déjà froid,Et puis plus rien. Plus rien que je n’entende. Depuis ma maison de
Une erreur commune dans la perception occidentale et/ou superficielle du Bouddhisme consiste à n’envisager l’absence de naissance et de mort que sous un angle matériel.
J’envisage ce matin la possibilité suivante :Le passage d’une âme d’un plan à un autre — et la vie éternelle se s’excluent pas nécessairement,comme un
Je médite car le monde est machine à remousEt l’assise alors, est remède à la mort, qui chatoie, qui tournoie,endosse les dix mille parures, joue
Il y a une vie au-delà de celle ci,Plus précisément ce vers quoi pointent les doigts des différentes traditions est au-delà de l’au-delà.Le dernier terme
La disparition de la mort et du vieillissement dans nos sociétés occidentales modernes, leur négation focenée, est aussi l’effet d’une cohérence, avec la force du
C’est parce que les gens ne sont pas capables de regarder le monde en face, qu’ils s’identifient tant avec les éléments de surface. Ainsi, ils
Chez la personne vieillissante, après un certain seuil, il semble que l’âme se soit déjà à moitié retirée. Qu’est ce que cela signifie ?Peut-on être quelque
Quand J’avais 10 ans, je croyais au paradisCelui des Chrétien, celui des Musulmans, celui des Juifs, et je croyais aux réincarnations du Bouddhisme TibétainJe croyais à
A vrai dire, je ne sais pas si l’on renaît ou si l’on transmigre, si l’on demeure en terre de paradis.“1000 vies”, qu’est-ce vraiment que
Cette vie anesthésiéeLittéralement dégénéréeOff-track, dévoyéeGuidée par la seule entropieSous les broyeurs du tempsMécaniques. Est-ce à dessein qu’elle se dilue ?Faut-il donc à la fin qu’il
Lorsque le crayon de bois est si petit Qu’il s’apprête à disparaître au prochain tour de taille :Où donc est passée toute sa longueur perdue ?Est-il
Le virus se répand et tout le monde souhaite sa fin. Lui, tente de subsister. Il lutte, il mute et finit pas d’éteindre, impuissant à trouver
L’expérience du silence est celle de la mort.Chacun peut s’y tremper, On cesse de mettre sa bille dans le jeu.Le jeu ne cesse pas pour
Mon corps, en cube de savon, est vraiment làEt ce corps n’a jamais vraiment été. N’ayant jamais vraiment été, il ne disparaîtra pasIl est absent,