C’est quand le souffle est au plus fort que la bougie s’éteint.Juste au delà de la plus grande agitation lumineuse.Alors que l’air attise la combustion,
C’est quand le souffle est au plus fort que la bougie s’éteint.Juste au delà de la plus grande agitation lumineuse.Alors que l’air attise la combustion,
Avec zazen, les années comptent à l’envers.La cataracte disparaît avec l’assise. Dogen, parlait du temps qui coule du présent vers le passé.Quelle vision était la sienne
As-tu déjà rencontré ce qui attendTout au bout d’une expiration ?As-tu laissé l’inspir jouer ses arabesquesjusqu’au bout du bout ? Franck Joseph©FJ July 2021 –
Dans le processus illusoire, quel est le rôle du langage ? Est-il matière première sans l’approvisionnement duquel les marcheurs restent à l’arrêt ? Est-il l’emballage
J’aimerais offrir aux gensUn point de repliParce qu’à force de se replierOn finit par se voir. Franck Joseph©FJ July 2021 – RecueilsThis content is made
Les cordes de guitare soufflent une bulle magiqueoù les mots inutiles et destructeurs ne peuvent pénetrer. Cela prend quelques secondes pour qu’elle commence à se
Au bord, juste au bord de la chute, le long du précipice de sommeil,Du bout des doigts, les mondes se touchent.Et dans les rails des
La tristesse électrique d’un bus retourtraverse les villes indifféremment.D’habitude seuls, dans l’attente de l’après, les passagers patientent les oeillères fermées en tunnel de soirée, Je
La rue déborde de violenceLa rue déborde de misèreDe quel coté regarder ?Mon cœur étouffeMon cœur est videQuel battement suivre encore ? La lune en
Cette déferlante qui te colle la face contre les cailloux du fond de mer, N’est rien d’autre que le flux des pensées qui passent et repassentEt
Mon corps, en cube de savon, est vraiment làEt ce corps n’a jamais vraiment été. N’ayant jamais vraiment été, il ne disparaîtra pasIl est absent,
Aucune fête nationale,Ni de passage à l’an nouveau.Pourtant les artifices explosentEt mettent mon ciel à feu et à sang.Tous les anniversaires sont manqués. Derrière le
An English version is available here. Je remercie Dieu, l’Univers, la Réalité, la Vie,Je remercie la PratiqueD’avoir bien voulu faire doucement avec moi.Brisé, abîmé, fêlé
S’asseoir en zazen : voir la mort.Se la prendre en plein face.La voir apparaître avec l’alignement du regardLorsqu’il n’y a plus nulle part où fuir.
Même dans le zen qui pourtant détruit toutTu viens, et détruis tout.Même au sein du zen, qui pourtant accepte tout,Tu rejettes tout, tu es rejeté.Qu’es-tu