Il y a quelque chose de pathétique – ou de merveilleux— dans la manière qu’à l’Homme de s’accrocher à la civilisation. Pathétique, comme si elle
Auteur : Notes And Silence
Shining
Les murs de la maison de la rue de Alliés sont si épais que rien, jamais, ne passe. Livreurs et facteurs laissent leurs plis sur

Saccage
Combien de fois ai-je piétiné ton cœur? Et sans scrupules ton regard abaissé? Pouvoir au goût amer, je tête ta fontaine Et sans cesse reviens
De loin l’arrogance devient attachement, puis bêtise, puis sourire, puis paix
De l’Air, de l’Ouvert, Des odeurs humides de Terre, Du Vent, de l’Amour A cheval sur chaque Jour. Respire In, respire Out, De l’Interieur voir
Totalitarisme Paradisiaque
Celui qui nomme, par cette action même d’ émettre un son-mot, est contraint de catégoriser, de mettre de frontières artificielles à la réalité. Sans ces
Guts Tap
Ecrire, c’est facile: il faut juste trouver le robinet qui mène aux tripes, ouvrir et laisser couler. NiDr
Crédulité arrogante
Et si le plus crédule de tous était celui qui ne croit que ce qu’il voit? NiDr
Recoins- l’action au sein du calme
Vraiment, les recoins intellectualistes sont des niches d’égos, des cages d’angoisses, où rien de bon ne fomente.

Les Oeillères des Croyances
J’ai l’impression qu’adhérer totalement à une religion, donc à son kit de croyances, équivaut à s’amputer délibérément d’un grande partie de la réalité, de sa
Déréglez!
Quand l’Ouvert de ferme, Ou que l’Amour se tronque, C’est que l’on dévie de la Voie.

Troubadour
Moi, quand je serai grand, je serai troubadour, Fils de l’Air, Fils du Vent, je fuirai comme la peste Le Lourd, Qui empeste la croute

Physique Quantique Appliquée (Compassion théorique)
Sans prévenir, je ressentis une douleur angoissée au niveau de la poitrine, une épine qui me déchira pendant un millième de seconde. Exactement la même

Derrière le Rideau…
Il y a, dans la tournure de « peut-être » un éclat du miroir de l’essence démocratique qui reste planté en mon cerveau telle une épine en

La Terre est une ville où de vivantes antennes… Laissent parfois ruisseler de confuses larmes.
La terre ne dort pas en hiver, elle pense. Par les réseaux neuronaux de ses arbres nus, Les branches en éventail. Elle pense sous nos

Nu
Nu, je me sens bien, Obligé d’accepter ce que je ne vois pas Sans chemin parcouru, sans effort sur le gras Sans conquête à venir,