Il faut s’être extrait de la nature pour la nommer “environnement”. Ce terme révèle un anthropocentrisme, puisqu’il consiste à qualifier relativement à l’homme tout ce
Il faut s’être extrait de la nature pour la nommer “environnement”. Ce terme révèle un anthropocentrisme, puisqu’il consiste à qualifier relativement à l’homme tout ce
A la fiction urbaine, le coupant géographiquement de sa nature et créant ainsi « l’environnement » comme sous-produit de son extraction, l’homme, par ces écrans abritant des
Il ne faut pas s’étonner que l’on se mette depuis peu à breveter le vivant. Voilà plus de 70 ans que l’homme s’est mis à
S’ils savaient que dans nos corps tout est rythmes et fréquences, et que la quête ultime et permanente est l’équilibre, que son appel profond est
Il y avait ce contraste vivifiant, qu’il ressentait dès que le contexte de sa vie autorisait un éloignement géographique…Et l’étouffement au retour dans ces murs
(Étudiant, j’étais totalement passionné par un jeu vidéo, lequel persistait à me maintenir éloigné des bancs de la fac pendant des heures, des jours et
« La confirmation simple et rationnelle de l’évidence intuitive selon laquelle l’homme n’est pas différent de la nature est que ce qui nuit à l’un nuit
La crise de notre écosystème a pour origine la crise de nos egosystèmes. Ignorants des fonctionnements alternatifs, ils enflent et étouffent, ils se condamnent
Le sens de la civilisation est celui d’une mise à distance entre ce que nous appréhendons et la réalité. Exemple : nos déchets plastiques et
Une façon de prendre conscience de l’éloignement de l’homme et de la nature est de s’interroger sur la nécessité d’attendre deux années avant de pouvoir
(la Terre Émoi) Accroupie dans l’herbe trop épaisse des lapins sans barrières, Julie laisse la paume de sa main vagabonder contre la croûte de terre
Contre la roche au bord, le cliquetis de l’eau que les vagues nourrissent. Voilà mon maître. Elle enseigne sans lexique, sans vocables ni syntaxe. Mais
Au cœur de l’action du nomothète, la différentiation entre l’homme et la nature. Dans le langage, la perdition. moi, je nomme ceci moi, je nomme
Il y a deux façons de tracer un chemin. On optera pour l’une ou l’autre selon les valeurs qui supportent notre existence. La première option
La première des protections que nous activons automatiquement en nous est de se prévenir de réaliser à quel point nous sommes sensibles à tout ce