Elle n’est pas plate non plus. La vie n’est pas géométrique. Je regarde la terre et je ne vois rien de plat, rien de rond,
Elle n’est pas plate non plus. La vie n’est pas géométrique. Je regarde la terre et je ne vois rien de plat, rien de rond,
Il est temps de s’asseoir, Et de lire son âme en direct, sans peur, sans artifice. Les paysages ne sont pas des décors. Les caractères
La pensée est ce à quoi donne lieu la fixation. Elle est le résultat des crispations. A la fois miroir et résultat, résultante et reflet.
english version below Ne pas laisser les gens croire qu’il est bon de ne ‘rien faire’ en méditation. Ne pas non plus laisser leur pratique
Consternant… L’usine à concepts tourne à pleins tubes. A qui profite cette entreprise d’ingénierie du langage ? L’humain ainsi morcelé, catégorisé (serait-ce par le recours
La nuit, lors d’un réveil soudain, les yeux intérieurs s’ouvrent par la déflagration plus ou moins grondante d’une pensée réminiscente. La queue trempée dans l’eau
La saisie, qui est mère de tous les leurres est l’extraction depuis le flux de pensées. La saisie est la compartimentation artificielle de la pensée-flux.
Toute l’expérience du monde est le fruit des pensées. De la pensée, émerge l’égo. Toute l’expérience du monde est une représentation égotique. Regarder derrière le
Le langage est le propre de l’homme, nous dit-on. Il semble que son corollaire intérieur, la pensée discursive, le soit aussi. En irait-il autrement, il
Les constructions de l’homme Rétrécissent le ciel. Par la fenêtre, le bleu disparait Derrière le métal et le ciment. Quand tu occupes
Chacun, tous, vous et moi, sommes persuadés que ce que nous disons, à l’instant où nous le prononçons, est la meilleure des paroles qui puisse
Gaki Gaki De toutes les directions, ils accourent. C’est bien la faim qui les pousse à agir ainsi, avec une telle urgence. La faim, la
Les mots flottent sur la rivière des pensées. Ils se scindent et s’agglutinent en phrases. Puis, au gré des courants et des rochers, les chaînes
La pensée, le mental, Comme un soldat fatigué, A qui on ouvre la porte, que l’on laisse s’attabler, A qui l’on offre un verre d’eau,
l’Espace qui accueille tous les êtres du sommeil et les âmes de jour est un, unique, universel, un. Unique: il n’y a pas de différence. Le même œil observe