Avec l’unité de vie qui avance, elle semble moins nous appesantir : les possibles qui se referment naturellement sont étrangement un important facteur d’apaisement. Au
Avec l’unité de vie qui avance, elle semble moins nous appesantir : les possibles qui se referment naturellement sont étrangement un important facteur d’apaisement. Au
Tout cela se dit, que je l’entende ou pas. En cultivant le silence, les racines du bruit, n’agrippent plus la terre. Et ses fleurs et
Mon ciel est traversé par de puissantes météorites. En feu, lancées depuis des temps incalculables,Elles carbonisent les nuages molletonnésFaute de vent, ils s’étaient installés. Rayé
Le monde moderne apporte le diktat de l’optimisation. Nous comprenons. Mais qu’en est-il lorsque ce culte de la fluidité des processus pénètre jusqu’à l’os le
Chaque geste en douceur est une offrande au monde.
L’assise est un ralentisseur de particules. Dans notre CERN, les particules sont par défaut propulsées à des vitesses vertigineuses et n’ont de cesse d’entrer en
Puisque le monde extérieur jamais ne te laisse, La paix de l’esprit, où la trouver ? L’attente du moment où, enfin les circonstances extérieures sauront
Il y a tant de voies qui mènent à la Voie. Cette Voie à laquelle toutes ces voies mènent peut se trouver. On y reste
Je m’imagine lors du grand soir. Pour un instant, pas trop longtemps, pour un instant seulement, je m’imagine tout au bout du grand soir. Vécu
« Et le nom du nouveau manager est… » (le moins capable, le plus remuant) Agitations inutiles pour agréger quelques bribes de contexte qui passent et les
Plus on s’approche du cosmos noir, plus on s’enfonce dans l’univers et plus les vents soufflent avec virulence. Sont-ce les douleurs de l’enfantement qui présagent
Ce sont les vents du mental qui poussent le navire loin des côtes. En tout sens, il louvoie sans savoir où aller, jusqu’à ce qu’il
La méditation consiste à faire taire, doucement, lentement, l’air de rien, le bruit du mental, pour pouvoir ensuite se comprendre comme une unité de conscience,
La nuit, lors d’un réveil soudain, les yeux intérieurs s’ouvrent par la déflagration plus ou moins grondante d’une pensée réminiscente. La queue trempée dans l’eau
Le petit train des illusions est lancé. Une seule solution pour qu’il s’arrête : qu’il parvienne à court d’énergie, qu’après une période de décélération, suivie d’un