Amené au seuil de ce que je peux, Palpé au delà de ce que je suis, Je ne peux te conduire Encore. Si tu restes
Amené au seuil de ce que je peux, Palpé au delà de ce que je suis, Je ne peux te conduire Encore. Si tu restes
Sans génuflexions Sans salamalecs, Sans mérites ni échelles Sans honte ni fierté, Le Zen enjambe les moyens habiles Que l’on déploie dans l’ennui des conciles. Il
Constellation les yeux fermés Apparaît nette et jaillissante Des profondeurs de la nuit noire, Constellation familière Réseau en étoiles sacrées, Nourricières, optimales, Constellation berceau Quelques
Oserez-vous plonger Dans la simplicité ? Le confort des mots Vous enferme. Fausse fluidité et jeux infinis Des combinaisons et pirouettes Oserez-vous plonger ? Ici
Dans le silence du trauma comme dans l’œil cyclone, tout est calme. A ne jamais parler du traumatisme, on finit Par ne jamais parler de
Ta haine, je la vois Ta haine ne m’atteint pas. Elle est l’écho sombre Du marasme Au sein duquel tu te débats. Elle n’est que
solitude de l’homme sans papier ni crayon où aller épancher sa peine à vivre ici ? chaque feuille est buvard Pour la tristesse d’encre vider
Tu peux étendre tes draps entachés Dans le fond de mon âme L’eau qui ruissèle saura les laver. Dans le fond de mon âme, Tu
Le conflit est un trou noir Où tournoie, puis s’engouffre L’énergie psychique. Laissant son hôte prisonnier Des quelques miettes qui lui restent Pour fonctionner au
Le parallélisme entre deux personnes, Est un frontal silencieux (la télé). Et le frontal entre deux solitudes, Est un moment douloureux (le conflit) Peut-on être à
La mouche sur ma page ajoute une dimension aux mots Ils deviennent impuissants à dire ce qu’elle montre en frottant ses deux pattes puis en
Subitement, le geste se cale dans les rails de l’univers. Les séances de zazen, depuis longtemps ou pas, avaient ferré la voie. Porté le long
Suite disponible ici: Quel est Celui qui Blesse ? (2/2) Première partie: « CELUI » ? Sans prévenir, celle ou celui…. L’homme qui m’a blessé a
Lorsque tout est dépeuplé, l’Être cesse de manquer, Illusion, agitation, méconnaissance De celui qui bavarde, gesticule et prévoit. Il faut le désœuvrement, pour débuter
Imagine une peau, Si fine et si fragile, Qu’on ne peut la saisir avec les mots. Trop bruyants, ils manquent la piste subtile. A l’approche