De l’intérieur, je commence à connaitre les réserves de tristesses inattendues.Elles se sont accumulées dans les tonneaux craquelés de la vieillesse qui s’excuse. Ce pourrait
De l’intérieur, je commence à connaitre les réserves de tristesses inattendues.Elles se sont accumulées dans les tonneaux craquelés de la vieillesse qui s’excuse. Ce pourrait
Ce sont les ‘Entretiens de Houang Po‘ qui me font le plus rire, surtout lorsque personne n’en saisit l’humour. J’éprouve un plaisir d’enfant lorsque, lorsqu’au
Le faire perd.L’ultra-faire anéantit.Dans les mousses agitéesDe l’action désorientéeS’amassent les poussières de compensation.Elles se condensent en boule jaillissante de feux follets. Et tout ce temps
En amont, la grâce de l’appel,Lancé dans le couloir de la foi,Ligne inaliénable. La graine, l’esprit d’éveil, Plantée depuis le non-tempsLa nostalgie sans objet,Vissée au
Sur ma peauLa flamme de bougieApporte la savaneCouleur de brousseDoucement abandonnéeDe soleil couchant.La lumière transformeLes ridules du tempsOmbres de sagesseLes reliefs de veines.En voies fluvialesIrriguées
Cette vie anesthésiéeLittéralement dégénéréeOff-track, dévoyéeGuidée par la seule entropieSous les broyeurs du tempsMécaniques. Est-ce à dessein qu’elle se dilue ?Faut-il donc à la fin qu’il
Arrivera le jour,Nécessairement, il faut que ça arrive,Où les occupations qui remplissent aujourd’hui,La vie et auxquelles tu te tiens,Dans les remous du soir avant d’espérer
Avec zazen, les années comptent à l’envers.La cataracte disparaît avec l’assise. Dogen, parlait du temps qui coule du présent vers le passé.Quelle vision était la sienne
Le fait que l’on trouve dans la Genèse deux récits consécutifs racontant une forme de cosmogonie différente est un enseignement en soi. Une remise en perspective
Ce qui me donne envie de pleurer : – Les leurres d’existences présentes : les heures alignées par dizaines de milliers et passées à prétendre
Je ne sais pas répondre à tes larmes qui coulentSans prévenir, elles me noientIl ne me reste alors que des planches de cris pour ne
Mon corps, en cube de savon, est vraiment làEt ce corps n’a jamais vraiment été. N’ayant jamais vraiment été, il ne disparaîtra pasIl est absent,
« Nous sommes l’âme-sœur de notre corps. Ce corps est le corps-frère de notre âme.« Franck Joseph©FJ Oct. 2020 – All rights reserved.Les articles et méditations
Ce qui m’apparaît, littéralement, merveilleux, c’est que le vieillissement ne semble pas impacter la joie d’être, contre toute attente. C’est très émouvant.Elle apparaît de plus
Avec le vieillissement vient l’impression d’occuper le monde par erreur… En regard de l’empreinte enflammée que lance une jeune conscience, Les quelques remous de l’adulte