Le couple aussi s’est enfermé à double tour.
Il arrive que l’un des moribonds s’éveille au milieu de la poussière et commence à la voir pour ce qu’elle est : une amitié particulière où les corps se retrouvent,
Une amitié à fronton. L’enseigne pour le badaud : “Ici, auberge du couple”.
Un dérivé d’interaction humaine à la texture plus collante, peut-être.
Voit-il les mêmes couperets, prêts à décapiter, ceux des “je t’aime “, à la lame si efficacement aiguisée.
Comme il faut être libre pour se laisser enfermer comme cela.
Franck Joseph
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« Comme il faut être libre pour se laisser enfermer comme cela. »
Oui
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Bon journée à toi Stephen…
Merci pour ce passage
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