Pourquoi fermer les grilles des barreaux de la poitrine? Pour éviter le piétinement? Pour contenir l’intrusion? Mais il n’y a personne à piétiner. Personne à
Pourquoi fermer les grilles des barreaux de la poitrine? Pour éviter le piétinement? Pour contenir l’intrusion? Mais il n’y a personne à piétiner. Personne à
It all starts on a cushion.As the stars sprinkle the night, our mental skies are agitated by swirling winds.They eventually calm down, then rise some
Les jardins du développement personnel, du self-growth, de la Mindfulness, regorgent de grosses graines bariolées.Elles décorent magnifiquement les champs mais ne se plantent pas. A
Meditating is going down the rocky caves on the way to ourselves. You might want to consider meditating as you slowly walk down the stairs
Le matérialisme qualifie la société dans laquelle nous habitons ainsi que l’ensemble des perspectives que l’on nous propose. Google et le futur que l’on nous
Tout commence sur le coussin. Sous les mille et une étoiles qui pigmentent la nuit, les cieux sont agités par les vents du mental. Ils
Assis, jambes croisées, genoux au sol, depuis toujours. Qui se tient sous la trappe d’observation? Dans quel espace se trouve-t-il? Au milieu, à l’intérieur de
La conscience arrête la cuisson. Simplement se voir Au bord des lèvres, la remarque cinglante ou la réprimande automatique s’apprête à franchir le rubicond du
The sight of a tree On the brink of tears The sun blows A patch of light On the field of the heart Emotion of
La vue d’un arbre Au bord des larmes Le soleil balaie Un patch de lumière Et souffle au cœur L’émotion de vie Toujours présente Le
Il arrive que les cailloux du fond de la rivière soient remués par la vigueur du courant. Alors, certains remercient l’eau pour les avoir laissé
« Shinjin Datsuraku » Bon. C’est un grand maître qui l’a dit. Ça doit être important. Voilà encore une injonction transmise par la marée du matin. Elle
Laisser tomber le corps et l’esprit: Shinjin Datsuraku. J’ai longtemps tourné autour de ces termes sans jamais les approcher réellement. Je les ai guettés, sachant
Et j’étais triste comme un migrant, dont personne ne parle la langue, qui baragouine en souriant quelques mots, pour survivre. Mais la langue natale des montagnes
Dogen, Maître Zen du XIIIè siècle, dans le Shobogenzo Zuimonki, parle de la méditation assise sous l’appellation de recueillement assis. Il s’agit de Zazen, que l’on