Bon. En voilà un titre violent: « la gangrène et les morts ». Faut-il que je le police ? Et comment ferais-je alors pour accrocher le regard
Bon. En voilà un titre violent: « la gangrène et les morts ». Faut-il que je le police ? Et comment ferais-je alors pour accrocher le regard
Cet article fait suite à : Dispersez-vous !? (partie 1 : Agitation) Le recueillement de l’assise tend vers l’opposé : le rassemblement, le remembrement. En réalité,
A force de voir dans chaque élément qui se présente à toi Un obstacle sur la route de ta vie désirée, Ces éléments cessent de
Il ne dut pas chercher longtemps pour l’apercevoir. Seul, au bout du sentier tracé par les feuilles mourantes, il était assis sur la grosse pierre.
-Papa, est-ce que, une maison aussi, ça a une vie? -Bah…oui… -Comment c’est possible si elle a pas d’zyeux, pas d’bouche, pas d’oreilles? Voici la
Comme il est ignorant celui qui craint les jets de lave et occulte la terreur sourde qu’évoque le magma serpentant sous la croûte terrestre. Il
Les écrits vains Des écrivains Sa taisent-ils un jour? Exutoire tronqué à l’indicible, l’écriture donne un sens a posteriori au chaos intérieur. Elle tente de
Abyssale est la chute de la feuille d’automne. Au bord du précipice, l’arbre mue sans savoir, Et laisse s’envoler sa fille emplie d’espoir. Soumise aux
Je vois autour de moi deux façons de regarder le monde. La première, c’est de voir les choses comme ultra actuelles, fébriles, la tête dans
Les âmes amies Meurent injustement Les fleuves de tristesse les emportent Et nous laissent sur les berges. Les gens meurent, C’est comme ça. Avec
Peut-on penser à une seule occurrence où vivre et mourir seraient séparés ? La mort n’existe pas en dehors de la vie…ni la vie en
L’au delà, comme un après, une ligne d’horizon qui fuit à mesure que l’on avance. Un soleil noyé, qui s’évade d’autant plus vite que le
Le sage-en-devenir est à lui-même son plus grand divertissement. Il n’en finit pas de traverser les strates de ses pensées puis
S’interdire de penser à la mort, c’est laisser place au consumérisme fébrile et effréné. Dès lors que j’inclus la mort à venir comme une réalité
Qui cherche Dieu à l’extérieur s’épuise et cherche en vain. Qui cherche Dieu à l’intérieur se fane et cherche en vain. Des dizaines de milliers