Quand le Bouddha dit: « je préfère vivre une journée en conscience que cent ans dans l’illusion », il fait bien sûr état du fait que le
Quand le Bouddha dit: « je préfère vivre une journée en conscience que cent ans dans l’illusion », il fait bien sûr état du fait que le
La communication était mauvaise. La météo n’aidait pas. Entrecoupée de crissements statiques, la voix de Matthieu semblait s’éloigner davantage à chaque seconde. Parcourue par un
La chose la plus gentille que je puisse dire concernant les mots, c’est que l’unité se réalise sans eux. Cela signifie qu’en dépit de leur
Avec la première fille qui passe, s’en aller vivre au bout des terres, avec les fibres qui pendouillent, tisser les mondes, y habiter — l’inconséquence
Et celui que je sens, est-ce celui qui accueille tous les autres ? celui duquel ils éclosent et vers qui ils retombent ? Quelle que soit
2h30 de marche, aucune idée. 2h30 de marche, anesthésié… Par un contenu audio vissé dans les oreilles. Passionnant, pourtant, mon intérêt est aiguisé. Passionnant mais
Cet article fait suite à : La Pentatonique du Réel (1/2) Les cinq niveaux d’expérience du réel se lèvent ce soir en soleilhorizon, limpides et
En musique, on parle de modes, primaires (majeur, mineur) et secondaires (Ionien, Dorien, Phrygien…). Les notes qui composent et traversent ces différents modes sont les
De l’autre-autrement à l’autre-étant C’eut été faux de dire que Walter était terriblement triste ce soir-là. Il était habituellement triste. D’un point de vue statistique,
En préambule, voici le rappel des 4 vœux du Bodhisattva: Si nombreux que soient les êtres sensibles, je fais le vœu de les libérer tous.
Un bout de ficelle dépasse du plancher. Assis, je n’ai rien à faire…autant tirer dessus et voir si quelque chose est noué à l’autre bout.
Ces lignes font suite à Prendre Refuge : la Dernière Cabane (1) Quelle merveille de pouvoir connaître l’expérience de la simple assise! Depuis la posture, observer
Quelques mots préliminaires sur le décor au sein duquel se promènent ces considérations…. C’est souvent la « prise de refuge » que les pratiquants du bouddhisme associent
Et lorsque tout est un, Alors tout s’éteint. Plus de ferveur transpirante, Finie l’ardeur dépensée A entretenir le deux, A tronçonner le un En dix