La Tour de Babel est en réalité une merveilleuse représentation de ce qui se trame dans notre esprit lorsque le mental s’y déploie avec vigueur.
La Tour de Babel est en réalité une merveilleuse représentation de ce qui se trame dans notre esprit lorsque le mental s’y déploie avec vigueur.
When the mind won’t rest even for half a second when it vacuums every bit of potential awareness What is left then but prayers to
Sur le chemin de la croissance, l’enfant se départit progressivement de ses jouets. Alors que les années passent, ceux-ci évoluent et se complexifient. Certains adultes
Franck Joseph ©FJ Jan 2019 Les articles et méditations sont disponibles en version papier ici : RECUEILS
Dans la dissonance, l’égo Dans l’harmonie, le Soi Dans la tension, pourtant, le Soi Dans l’harmonie, caché, l’égo Démasqué le moi des kolomos bien calés
Que nous l’appelions ‘mental’, ‘égo’, ‘processus phénoménaux’, ou ‘vie sans Dieu’, Que nous évoquions les paires nature-Nature, esprit-Esprit, soi-Soi, Il est dans tous les cas
De manière totalement contradictoire et inattendue, au regard de ce qui est censé motiver toute démarche vers une pratique spirituelle, le retour sur soi, qui
Comme l’avion passe le mur du son, Le méditant passe le mur du soi. Un mur de bruit, fait des briques du mental au delà
Tout ce que l’on peut dire de Dieu relève de ce que l’on peut dire. Tout ce que l’on peut dire relève de la sphère
La question n’est pas de connaître ce qui est, mais de cesser d’appréhender ce qui n’est pas. Rien à faire. Arrêter de faire. Tout cela,
Tour à tour enfant, adolescent, homme pressé ou vieillard, nos tendances s’invitent dans notre vie intérieure. Ces personnages sont doués, créatifs, et furieusement convaincants. Ils
La pleine conscience par ci, la pleine conscience par là, la pleine conscience, c’est bien, mais pleine conscience de quoi ? note: (1) Cette remarque
« Le moi extérieur est celui qui ne sait approcher l’être nu, simple et satisfait, … »
Il est vraiment fascinant de voir se concocter, puis défiler toute la gamme folle des excuses pour échapper au présent. Il est triste aussi de
Récemment, une amie ayant quitté nos pratiques à coussin pour rejoindre les bancs des églises, nous confiait cette phrase, aussi douce que lapidaire : -« Nous